Création de bijoux avec des gemmes naturelles, et du verre d'art filé au chalumeau - Les pervers narcissiques : découverte en détail et en profondeur de leur mode de fonctionnement délétère, comment y faire face, comment s'en libérer, comment en guérir et comment se reconstruire. Développement personnel. Sagesses, d'où qu'elles viennent... Réflexions éducatives. Blog féminin par excellence, mais pas que...
12 Septembre 2025
Cet article est la transcription automatique d’une vidéo qui sort de l’ordinaire. J’ai pensé qu’elle valait la peine d’être corrigée (car il y a forcément des erreurs, vu que c’est une opération automatique) pour publier un texte correct, afin que vous puissiez le lire et avoir ainsi pleinement le temps de réflexion nécessaire pour intégrer tous les éléments. On y retrouve des sujets déjà abordés au fil de mes articles, mais là, ils sont assemblés dans un processus de basculement. J'espère que cette publication vous sera très utile. Vous trouverez en bas la référence de cet excellent exposé. Voici le texte :
« Imagine un jeu d’échec silencieux. D’un côté, le narcissique persuadé de tenir toutes les pièces, sûr de son pouvoir de manipuler, d'intimider et de séduire. De l'autre, l'empathe, celui qui ressent tout, qui capte les émotions des autres comme une éponge, qui se laisse souvent entraîner dans le tourbillon des humeurs du narcissique. Pendant longtemps, ce jeu est déséquilibré. Le narcissique avance ses pions, prend de l'espace, occupe l'esprit de l'empathe.
Mais un jour, quelque chose bascule. L'empathe se rend compte qu'il n'est pas une pièce sur l’échiquier, mais bien le joueur capable de renverser la partie. C'est ce moment de bascule que nous allons explorer aujourd'hui sur « Voix de l'âme » (chaîne YouTube). Jung nous rappelle que la vraie transformation intérieure naît quand on reconnaît et qu'on intègre son ombre. L'empathe qui s'éveille, qui cesse de se définir uniquement par la douceur et le sacrifice, devient redoutable pour un narcissique. Pas parce qu'il devient violent ou manipulateur à son tour, mais parce qu'il cesse d'être contrôlable.
Dans cette vidéo, je vais partager sept signes qu'un empathique devient dangereux pour un narcissique. Et crois-moi, si tu reconnais certains de ces signes en toi, tu es en train de sortir de l'emprise et tu actives une force intérieure que tu ne soupçonnais pas.
Signe 1. L'empathe cesse de se justifier. Au départ, l'empathe a ce besoin viscéral d'expliquer. Il veut que tout soit clair, transparent, compris. Quand le narcissique l'accuse de ne pas être assez présent, il explique qu'il travaille trop. Quand le narcissique lui reproche d'avoir mal parlé, il tente de détailler son intention. C'est une boucle sans fin. Plus il se justifie, plus le narcissique trouve une faille pour appuyer là où ça fait mal. Mais il arrive un moment où l'empathe comprend une vérité simple. Se justifier, c'est se mettre en position d'accusé. Et il n'a rien fait de mal. Alors il arrête, il n'argumente plus. Il ne s'explique plus. Il se contente de phrases courtes. « Tu as le droit de penser ça, c'est ton avis ». Ou parfois même d'un silence assumé. Et ce silence pour un narcissique est insupportable parce que tout son pouvoir repose sur la réaction de l'autre. Quand l'empathe cesse de se défendre, il coupe le carburant du manipulateur. Jung disait : « Ce à quoi tu résistes persiste, ce que tu embrasses se dissout. » L'empathe cesse de résister, il lâche prise et d'un coup, le narcissique perd son « terrain de jeu ». Imagine cette scène. Le narcissique balance une accusation pleine de sous-entendus, attendant le discours de justification. Mais au lieu de ça, il se heurte à un simple regard calme, une respiration lente et aucune défense. À ce moment précis, c'est lui qui se sent exposé, fragile. L'équilibre s'inverse.
Signe 2. L’empathe apprend à dire « non » sans culpabiliser. Pour beaucoup d'empathes, le mot non est une montagne infranchissable. Ils ont peur de décevoir, peur d'être rejetés, peur d'être considérés comme égoïstes. Le narcissique profite de cette peur. Il s'infiltre dans chaque oui forcé, dans chaque service rendu à contre-cœur, dans chaque sacrifice déguisé en preuve d'amour. Mais un jour, l'empathe prononce un non clair, pas un non tremblant, pas un non accompagné de 10 excuses, mais un non posé, solide, dit avec calme. Et ce non est comme une porte qui se ferme avec douceur mais fermeté. Au début, le narcissique s'énerve, teste, provoque. Il essaie de faire culpabiliser. « Tu as changé, tu ne m'aimes plus, tu es devenu froid ». Mais l'empathe, ayant appris à poser des limites, ne flanche pas. Il sait que dire non n'est pas un manque d'amour, mais une forme de respect pour soi-même. Là encore, Jung nous éclaire : « Celui qui a un pourquoi peut endurer n'importe quel comment. » L'empathe a trouvé son pourquoi, préserver sa paix intérieure, et avec ce pourquoi, il a la force de supporter la réaction de l'autre sans reculer. Ce non change tout car il introduit de l'imprévisibilité. Le narcissique habitué à un terrain malléable se retrouve face à un mur et pour un manipulateur, l'imprévisibilité est la pire des menaces parce qu'elle brise son script, son plan, son contrôle. Prenons l'exemple de Sophie, une femme empathique qui pendant des années a tout accepté d'un partenaire narcissique. Il décidait des sorties, des projets, de la façon dont elle devait s'habiller. Elle disait toujours oui, pensant que c'était ça, aimer jusqu'au jour où elle a dit non. Non à une demande absurde. Non à une critique injuste. Et ce non, dit calmement, sans colère, a tout changé. Elle a vu son partenaire vaciller, perdre ses repères. Ce jour-là, Sophie n'était plus une proie, elle était une force. Transition vers le prochain signe. Quand l'empathe cesse de se justifier et qu'il apprend à dire non, il ne fait pas que se protéger. Il commence à retourner la dynamique. Il oblige le narcissique à se confronter à une réalité nouvelle. Il ne peut plus contrôler, il ne peut plus dicter. Il ne peut plus imposer. Dans le prochain segment, on va aller encore plus loin. Tu verras comment l'empathe devient dangereux non seulement en posant des limites, mais aussi en retournant le miroir contre le narcissique. C'est là que la partie devient vraiment intéressante.
Signe 3. L'empathe retourne le miroir contre le narcissique. Imagine un narcissique en pleine tirade en train de projeter ses faiblesses sur l'autre. « Tu es trop sensible, tu dramatises, tu inventes des problèmes ». L'empathe d'avant aurait encaissé en silence ou tenté de se défendre maladroitement, mais lorsqu'il devient conscient de la mécanique, il ne réagit plus de la même manière. Au lieu d'avaler ses accusations, il les retourne calmement comme un miroir. Non pas pour blesser, mais pour mettre en lumière ce qui est caché. Un simple « Intéressant que tu dises ça, parce que c'est exactement ce que je remarque chez toi » suffit à déstabiliser le narcissique. Ce qui rend ce signe dangereux, c'est que le narcissique vit dans le déni. Il ne supporte pas de voir ses propres failles. L'empathe, qui ose refléter ses failles, même subtilement, lui tend un miroir qu'il ne veut pas regarder. Jung parlait de l'ombre comme la partie rejetée de nous-même, celle qu'on refuse de reconnaître. Quand l'empathe la dévoile, il force le narcissique à entrevoir son ombre et ça, c'est insupportable pour lui. Prenons un exemple. Marc, empathique, avait un collègue narcissique qui passait son temps à l'accuser d'être trop lent et désorganisé. Un jour, Marc a répondu sans colère. « J'ai remarqué que tu étais souvent en retard aux réunions. Tu penses que ça peut venir de la même difficulté d'organisation ? » Silence dans la pièce. Le narcissique exposé a détourné la conversation. Pour la première fois, Marc n'était plus la cible. Il avait renvoyé la balle. Ce signe marque une rupture. L'empathe n'est plus un simple récepteur d'attaque. Il devient celui qui révèle la vérité cachée. Et pour un narcissique, la vérité est un poison.
Signe 4. L'empathe cesse d'avoir peur de la solitude. Le plus grand levier de contrôle d'un narcissique, c'est la peur de l'abandon. Il sait que l'empathe, avide de connexion et d'harmonie, redoute la solitude. Alors, il joue avec cette peur. « Sans moi, tu n'es rien. Tu ne trouveras personne d'autre. Personne ne pourra t'aimer comme moi ». Et souvent ça marche. L'empathe se cramponne même quand il souffre, juste pour ne pas être seul. Mais quand l'empathe traverse cette peur et découvre que la solitude n'est pas une prison, mais une liberté, le narcissique perd son arme la plus puissante. Jung disait : "La solitude ne vient pas du fait qu'on n’a pas de gens autour de soi, mais de l'incapacité de communiquer ce qui nous semble important ». L'empathe qui apprend à se suffire à lui-même, à trouver en lui une source de paix, n'est plus prisonnier du besoin d'approbation. Imagine quelqu'un qui sort d'une relation toxique. Au début, le vide est effrayant. Les soirées semblent interminables, le silence pèse, mais peu à peu, cette personne apprend à remplir cet espace par autre chose. Des lectures, des projets, des moments de méditation, des passions oubliées. Elle découvre qu'être seule ne signifie pas être vide. Et le jour où elle regarde le narcissique en face et lui dit "Je préfère être seule que mal accompagnée", elle devient intouchable. Ce signe est dangereux pour le narcissique car il ne peut plus utiliser la menace du rejet. L'empathe n'a plus peur de partir et c'est ce détachement qui fait trembler le manipulateur car il sait qu'il perd alors tout pouvoir. Prenons Clara. Pendant des années, elle est restée avec un partenaire narcissique qui l'humiliait, la critiquait, la faisait culpabiliser. Elle avait peur de le quitter parce qu'elle pensait ne jamais pouvoir retrouver quelqu'un. Puis après une énième dispute, elle est partie. Les premières semaines furent dures, mais petit à petit, elle a appris à aimer sa solitude. Elle s'est mise au yoga, elle a repris des études, elle a redécouvert sa créativité. Quand son ex a essayé de la reconquérir en lui disant « Tu es perdue sans moi », elle a simplement répondu : « En réalité, je me suis retrouvée sans toi ». Cette phrase simple mais puissante a marqué la fin définitive de son emprise. Quand l'empathe renvoie le miroir et qu'il apprend à apprécier sa solitude, il n'est plus dans une position de dépendance. Il entre dans une nouvelle dimension de force intérieure. Et c'est là que le narcissique commence à paniquer parce qu'il n'a plus de contrôle émotionnel, plus de pouvoir de manipulation. On ira encore plus loin avec les signes 5 et 6 qui montrent comment l'empathe devient non seulement intouchable, mais aussi capable d'utiliser son intuition et sa vérité intérieure comme des armes silencieuses mais redoutables.
Signe 5. L'empathe fait confiance à son intuition et cesse d'ignorer les drapeaux rouges. Un des plus grands pièges dans lesquels tombent les empathes, c'est qu'ils veulent tellement voir le meilleur chez l'autre qu'ils ferment les yeux sur les évidences. Ils sentent que quelque chose ne va pas mais ils se disent "Ce n'est rien, il changera. C'est moi qui exagère." Et c'est exactement ce que veut le narcissique, que l'empathe doute de sa propre perception. Mais quand l'empathe évolue, il cesse de minimiser ce que son intuition lui dit. Il apprend à reconnaître les signaux d'alerte, les mensonges subtils, les incohérences, les critiques déguisées en blague, les promesses jamais tenues. Il n'essaie plus de trouver des excuses à l'autre. Il fait confiance à son ressenti. Jung parlait de l'intuition comme d'une fonction psychologique essentielle, une forme de connaissance immédiate. Quand l'empathe suit cette voix intérieure, il devient impossible à manipuler parce que le narcissique peut inventer 1000 histoires, mais il ne peut rien contre une intuition éveillée. Exemple : Karim, empathique sortait avec une femme narcissique. Chaque fois qu'elle disparaissait pendant des jours, elle avait une excuse prête. Avant, Karim l’aurait crue en se disant qu'il exagérait, mais un jour il a décidé de faire confiance à son instinct. Au lieu de se justifier ou de chercher des preuves, il a simplement reconnu en lui : "Je sens que quelque chose cloche et ce ressenti suffit." Cette décision lui a permis de sortir de l'illusion. Ce signe est dangereux pour le narcissique car il vit de ses illusions. Dès que l'empathe n'y croit plus, son masque s'effondre.
Signe 6. L'empathe utilise sa vérité comme une arme silencieuse. Un narcissique déteste une chose par-dessus tout. La vérité nue, simple, dite sans colère. Parce qu'il vit dans un théâtre d'illusion. Il se nourrit de mensonges, d'exagération, de manipulation. Quand l'empathe commence à parler avec une sincérité brute, sans chercher à convaincre, il crée un choc. Il n'a pas besoin de crier ni d'accuser. Il dit juste ce qu'il voit, ce qu'il ressent, ce qui est réel. Et cette vérité agit comme une lame invisible. Elle perce le masque du narcissique sans effort. Imagine une scène. Le narcissique reproche à l'empathe d'être froid parce qu'il a posé une limite. Avant, l'empathe aurait paniqué mais maintenant il répond calmement. « En réalité, ce n'est pas de la froideur, c'est du respect pour moi-même. » Silence. Rien à attaquer. Pas de drame, juste la vérité. Jung disait : « La vérité ne vient pas de l'extérieur, mais de l'intérieur. » Celui qui regarde à l'intérieur s'éveille. L'empathe éveillé n'a plus peur de dire ce qu'il ressent, même si ça déplaît. Et c'est là que le narcissique est désarmé parce qu'il attend des justifications, des excuses, des cris, des larmes, mais il reçoit seulement une vérité simple. Et face à ça, il n'a aucun argument. Regarde l'histoire de Nadia. Pendant longtemps, elle s'excusait pour tout. « Pardon si je t'ai blessé. Pardon si je n'ai pas fait assez. Pardon si tu es fâché. » Son mari narcissique se nourrissait de cette culpabilité, mais un jour elle a changé. Lorsqu'il l'a accusée de manquer d'amour, elle a répondu calmement : « Je t'ai donné de l'amour, mais tu voulais du contrôle. » Cette phrase a agi comme un électrochoc. Nadia n'avait pas crié, elle n'avait pas insulté, elle avait juste dit la vérité et cette vérité simple mais implacable a brisé l'illusion. Quand l'empathe fait confiance à son intuition et qu'il ose dire la vérité sans peur, il devient imprévisible, insaisissable. Le narcissique ne peut plus le manipuler avec des mensonges ni des illusions. C'est là que la dynamique bascule complètement. L'empathe n'est plus une victime. Il devient un miroir vivant et une force tranquille. Nous verrons dans le dernier signe, peut-être le plus puissant, celui qui transforme définitivement l'empathe en quelqu'un que le narcissique ne pourra plus jamais dominer. Et on conclura avec une réflexion jungienne sur la force cachée derrière cette transformation.
Signe 7. L'empathe cesse de chercher la validation extérieure. Depuis toujours, l'empathe a tendance à se définir à travers les yeux des autres. Il veut être aimé, accepté, compris. Le narcissique le sait et s'en sert comme d'une laisse invisible. Un compliment pour l'attirer, une critique pour faire douter, une comparaison pour le rabaisser. C'est un jeu de yoyo émotionnel. Mais quand l'empathe s'éveille, il comprend une vérité essentielle. Sa valeur ne dépend pas de l'opinion des autres. Il cesse de courir après les « bravos », les « je t'aime », les « tu es assez ». Il commence à se nourrir de sa propre validation intérieure. Concrètement ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand le narcissique dit : « Tu n'as pas fait assez », l'empathe répond intérieurement « Je sais ce que je veux. » Quand il dit : « Personne ne t'aimera comme moi » L’empathe se dit : « Je mérite un amour plus sain. » Quand il lance, « Tu es faible » l'empathe sourit car il sait que sa sensibilité est une force. Ce signe est le plus dangereux de tous pour un narcissique car si l'empathe ne dépend plus de ses jugements, il perd tout pouvoir. Un narcissique sans proie à contrôler est comme un acteur sans public. Il s'effondre. Prenons l'histoire de Julien. Pendant des années, il cherchait à être reconnu par son père narcissique. Il travaillait dur, obtenait des diplômes, gagnait des prix, mais rien n'était jamais assez. À chaque réussite, son père trouvait une critique. Un jour, Julien a arrêté de chercher cette reconnaissance. Il a compris que le problème n'était pas lui, mais le regard tordu de son père. Ce jour-là, il a ressenti une liberté immense. Son père a continué à critiquer, mais Julien n'était plus atteint. Il avait trouvé une validation plus forte, celle qui vient de l'intérieur. La transformation de l'empathe, selon Carl Jung. Jung disait que l'individuation, ce processus par lequel on devient pleinement soi-même, passe par l'intégration de l'ombre. L'empathe qui devient dangereux pour un narcissique, c'est celui qui a intégré son ombre. Son ombre, c'est sa capacité à dire non, à poser des limites, à refléter la vérité, à accepter la solitude, à écouter son intuition, tout ce qu'il avait refoulé pour être gentil, aimable, accepté. Quand il réintègre cette force, il devient complet et un être complet. Pour Jung, le vrai pouvoir ne vient pas de la domination, mais de l'équilibre entre nos forces opposées. L'empathe qui accepte à la fois sa lumière et son ombre devient une force tranquille, capable de marcher dans le monde sans se laisser écraser. La réaction du narcissique. Alors, que se passe-t-il quand le narcissique réalise que l'empathe a changé ? Il panique. Il essaie de redoubler ses manipulations, culpabilisation, séduction, menaces voilées, mais rien n'y fait. Le nouvel empathe est stable, centré, lucide. À ce stade, deux choses arrivent souvent. Soit le narcissique abandonne et cherche une nouvelle proie plus malléable. Soit il reste, mais son pouvoir est brisé et la relation devient une coquille vide. Dans les deux cas, l'empathe a gagné. Non pas en détruisant l'autre, mais en se libérant.
Conclusion : Si tu te reconnais dans ces signes, sache une chose, tu n'es plus une victime. Tu es en train de devenir cette version de toi que Jung appelait le soi, la totalité de ton être. Oui, être empathique est une force, mais une force qui doit s'accompagner de conscience. Quand tu arrêtes de te justifier, quand tu apprends à dire non, quand tu reflètes la vérité, quand tu n'as plus peur de la solitude, quand tu fais confiance à ton intuition, quand tu dis ta vérité sans trembler, et quand tu cesses de chercher la validation extérieure, tu deviens intouchable. Et pour un narcissique, il n'y a rien de plus dangereux qu'une personne intouchable parce que son pouvoir repose sur ton doute. Si on ne doute plus, il n'a plus rien.
Est-ce que vous avez déjà ressenti ce basculement intérieur, ce moment où vous n'étiez plus contrôlable ?
Il faut prendre conscience que nous sommes bien souvent bloqués par notre bienséance, par notre éducation. Il faut se permettre de passer outre quand il y a besoin.
Attention à vous si vous avez affaire à une personne violente, ne prenez surtout pas de risque, ne vous mettez pas en danger.
https://www.youtube.com/watch?v=D3ss7wnYKr4 7 signes qu’un empathe devient dangereux pour un narcissique / Carl Jung
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